Eugène, 95 ans, raconte le jour de 1943 où il est devenu Résistant. Juste respect.
Certains en parlaient tout le temps jusqu’à ne plus vivre que dans le souvenir de leur gloire passée, réelle ou fantasmée.
D’autres n’en parlaient surtout pas pas et ça n’est ce n’est que longtemps après qu’ils ont raconté.
La plupart de ces héros de l’ombre on vécu un total anonymat après la guerre et une vie modeste, sans aides.
« J’ai pensé à la France, il y avait l’esprit de vengeance aussi… »